La cuisine à basse température consiste à cuire les aliments au four à une température comprise entre 65 et 80 °C (thermostat 2-3) , après les avoir saisis quelques minutes. Une cuisson lente, plus savoureuse, et bénéfique sur le plan de la santé.
Tableau de cuisson à basse température
Tableau de cuisson du Boeuf à basse température
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Les dernières recommandations du PNNS (Programme national nutrition santé) pour la viande sont de ne pas dépasser 500g de viande cuite (hors volaille) par semaine. En guise de repère, pour les nutritionnistes, la bonne quantité est de 1g de protéine par kilo de poids corporel et par jour. Une personne de 56 kg doit ainsi consommer 56 g de protéine par jour. Autre repère facile, la juste portion de viande cuite correspond à la taille de la paume de la main.
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Degrés de cuisson à cœur du bœuf 45°C= bleu/50°C = saignant / 55°C = à point / 60°C et plus =bien cuit
Tableau de cuisson du Boeuf à basse température
Mets très apprécié des banquets durant l’Antiquité par les Romains, les Grecs et les Gaulois, le cochon est très consommé par les intellectuels de l’époque qui se plaisent à en vanter les bienfaits. D’Aristophane à Caton en passant par Pline et Homère, on retrouve l’animal dans les écrits des  plus illustres poètes antiques. 
La simplicité d’élevage du cochon en fera au  Moyen Âge l’animal le plus consommé devant le mouton et le bœuf. 
Vauban, ministre de Louis XIV, voit dans l’élevage du cochon un moyen de lutter contre la famine. Il observe que “cet animal est d’une nourriture si aisée que chacun peut en élever, n’ayant point de paysan si pauvre qu’il soit qui ne puisse élever un cochon de son cru par an”.  
Le porc contient plusieurs nutriments essentiels à la santé. Il renferme des protéines de haute qualité. Il est également riche en zinc, en sélénium et en vitamines du groupe B, spécialement la vitamine B1 (thiamine) dont les taux surpassent ceux des autres viandes. Sa teneur en gras varie en fonction de la coupe. 

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Tableau de cuisson des volailles à basse température
La viande de volaille (dinde, poulet, pintade, coquelet) est pauvre en matière grasse (à condition de ne pas consommer la peau !) : elle n'en contient qu'environ 5%. Elles sont par ailleurs intéressantes pour la santé puisque qu'elles se composent en grande partie d'acides gras mono-insaturés et polyinsaturés. 
Les volailles sont riches en protéines (25% environ) ce qui donne un effet coupe faim toujours utile pour garder la ligne ! Elles contiennent également de nombreux minéraux avec notamment du zinc, du fer, du magnésium et du phosphore et des vitamines du groupe B qui participent à diminuer les risques cardio-vasculaires. 
Tableau de cuisson des poissons à basse température
Le poisson contient plusieurs éléments nutritifs. Il est : 
- riche en minéraux, comme le sélénium et l’iode 
- une excellente source de protéines 
- la meilleure source alimentaire de vitamine D naturelle 
- la meilleure source d’acides gras oméga-3.  
Ces acides gras : 
- sont essentiels au développement et au bon fonctionnement du corps, notamment du cerveau et de la rétine 
- sont essentiels au bon déroulement d’une grossesse 
- protégeraient contre les maladies cardiovasculaires 
- ont des effets anti-inflammatoires. 
Les poissons ont aussi une faible teneur en gras saturés et en cholestérol. 
La consommation fréquente de poissons gras ayant une teneur élevée en oméga-3, comme le saumon, la sardine, la truite et le maquereau, aurait un effet protecteur contre la dégénérescence maculaire sénile. Cette maladie est la principale cause de perte de vision chez les personnes âgées. 

Tableau de cuisson du lapin à basse température
Les nutritionnistes le disent : le lapin, c’est bon pour la forme (*) ! A la fois tendre et goûteuse, la viande de lapin allie plaisir et exigence de bien-être. 
Avec ses qualités gustatives et diététiques, la viande de lapin a tout pour satisfaire les gourmands soucieux de leur santé. Elle est particulièrement recommandée aux femmes enceintes et allaitantes, aux enfants et aux adolescents, aux personnes âgées, aux sportifs… 
Manger du lapin contribue donc à une alimentation équilibrée et variée. Alimentation équilibrée et variée, gage d’énergie et de bonne humeur ! 
Une viande plus maigre que beaucoup d’autres, contenant très peu de lipides (en moyenne 6g pour 100g de viande de lapin sans abats), notamment le filet et la cuisse. 
Une viande riche en protéines de qualité (environ 21g pour 100g), elle est aussi plus pauvre en calories et en sodium que la plupart des autres viandes. 
Une excellente source de vitamines, de minéraux et d’oligo-éléments : forte teneur en vitamines B3 et B12 et en phosphore, en potassium et en sélénium. Elle participe utilement au bon équilibre vitaminique et minéral de toute alimentation. 
Une viande avec un excellent équilibre en acides gras : le lapin est plus riche en acides gras oméga3 que le poulet ou le porc. Elle est modérément chargée en graisses (selon les morceaux).